Publié dans Société

Respect des droits et liberté de choix des femmes - Garantir un avenir équitable et prospère

Publié le jeudi, 13 juillet 2023

La liberté de la femme à choisir d’avoir ou non un enfant est actuellement encore menacée dans de nombreux pays. Même à Madagascar, bien qu’en couple et mariées légalement, beaucoup sont celles qui sont encore sous la coupe de leur conjoint dans la décision d’enfanter. Cette restriction s’accompagne également d’une inégalité en matière d’accès aux soins et aux méthodes de limitation de naissance. Il est donc impératif d’octroyer la capacité aux femmes de choisir librement le nombre de leurs d’enfants et l’utilisation des moyens de contraception.

Un document ayant pour titre « Huit milliards d'humains, un horizon infini de possibilités, défendre les droits et la liberté de choix » a été sorti officiellement hier. Ce document évoque qu’une meilleure connaissance de la population peut faire émerger de nouvelles solutions pour renforcer la résilience démographique et contribuer à bâtir un avenir plus équitable et plus prospère.

Selon le rapport de ce document sur l'état de la population mondiale, préparé par un groupe de conseillers, de chercheurs et d'auteurs en collaboration avec le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), « 44% des femmes en couple ne sont pas en mesure de prendre des décisions en matière de soins de santé, de sexualité ou de contraception, d'après les dernières données communiquées sur 68 pays ».

Pour garantir un avenir plus prospère et plus durable, le programme de développement durable à l'horizon 2030 reconnaît le rôle essentiel de la santé sexuelle et reproductive et de l'égalité des genres. Les progrès en matière d'égalité des genres et d'autonomisation des femmes, ainsi que le renforcement de la capacité des femmes à contrôler leur propre fécondité devaient être au cœur des programmes relatifs à la population et au développement, selon les acteurs du programme d'action de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD).

 

Nikki Razaf

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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